Extrait
Après une grève de cinq jours (du 6 au 10 février), les 950 dockers du port d’Alger ont repris le travail lundi tout en continuant à réclamer la satisfaction de leurs revendications. Rencontrés hier au siège du syndicat de l’Entreprise du port d’Alger (Epal), affilié à l’Union générale des travailleurs algériens, plusieurs dockers ont indiqué que leurs revendications portent sur le versement de l’indemnité d’expérience professionnelle, le droit au bénéfice de l’entreprise et à la prime du 13e mois de salaire avec effet rétroactif depuis leur recrutement.