C'est ce que nous apprend l'article du Guardian en anglais ici.
Les pressions de l'industrie pétrolière auront eu raison du ministère de la culture.
Ce sont bien sûr toujours les mêmes arguments productivistes, employistes qui prévalent et, comme dirait je ne sais plus quel chef Indien, le jour où ils auront vendu leurs forêts, leurs terres, leur eau, ils se rendront compte que l'argent ne se mange pas. Dont acte.
Évidemment, l'espace qui sépare le preneur de décision ministériel et ceux qui subissent la décision permet tous les arbitraires, toutes les prises d'intérêt, toute la corruption.